Joies et désespoirs de l'informatique

Eh bien, voilà: aujourd'hui doit sortir La Forteresse d'argent, le tome 2 d'Arghentur. Ce qui est chouette avec ce blog c'est que je peux l'annoncer tout de suite à la cantonnade. Oui, je ne suis pas un auteur mondialement connu, juste une débutante, donc ma voix retentit surtout dans un grand vide indifférent. Mais il y a bien quelques personnes que ça intéresse... Si, si, sur les 100 derniers accès par mots-clés de ce blog, il y en a une quinzaine qui me cherchaient! C'est un progrès! Et ça m'amuse bien de voir parfois des gens s'égarer chez moi alors qu'ils voulaient voir totalement autre chose. À ceux-là, je présente mes excuses pour la perte de temps... mais ils sont les bienvenus s'ils reviennent... Ce qui est moins chouette c'est que je ne parviens à nouveau pas à mettre en ligne la couverture. Enfin, ça ne durera pas, et je finirai bien par la faire apparaître! La magie conjuguée de Celwyn et du Maître viendront à bout des bugs, j'en suis persuadée. Bon, alors pour ceux qui n'ont pas aimé le tome 1, il y a une lueur d'espoir, il paraît que le tome 2 est mieux. Maintenant, je n'ai pas radicalement changé l'histoire ni le style entre-temps, donc vous savez déjà plus ou moins à quoi vous attendre. J'espère surtout que ceux qui ont aimé aimeront encore plus! Et puis il y a toujours les illustrations SPLENDIDES de Philippe Munch. Je tiens à préciser: au départ, ce tome devait s'appeler la Citadelle d'argent. Et puis en surfant un peu je me suis rendue compte qu'un roman de Horowitz portait déjà ce titre. J'ai donc suggéré autre chose à mon éditeur... seulement, depuis, Les Chevaliers d'Emeraude ont traversé l'Atlantique (ils sont Québécois à la base), et je me rends compte qu'il y a aussi une Forteresse d'argent chez eux. Mais là, c'est trop tard. À l'époque, quand je tapais Forteresse d'Argent sur un moteur de recherche, il n'y avait pas de résultat littéraire... Et pour les plus curieux, il subsiste sur la Toile un ou deux résumés de la toute première version du tome 1; quand Terbalne s'appelait encore la Florèse, par exemple (avec des selves "créatures mi-humaines mi-végétales", je me demande encore où ce chroniqueur est allé chercher ça! sans compter qu'il spoile à mort tout le livre en racontant pratiquement tout ce qui s'y déroule... même la nature du baron Grauwin y passe... tout, je vous dis! pourvu qu'il ne fasse pas le même sort au tome 2! Ce serait désolant si on devait apprendre par inadvertance que... oups... non, je n'ai rien dit...) Mon impatience m'égare. Je vais continuer à livrer ma bataille matinale contre la forteresse canalblogienne pour vous montrer la couverture. Non, mais! @ + Sig